On ne peut qu'être d'accord avec la nécessité de rationaliser la démarche de rénovation. Le problème est que le contexte actuel pousse les occupants de bâtiments anciens à céder aux propositions des « marchands de soupe » qui surfent sur les aides fiscales : en se prévalant de ces aides, ils vendent des remplacements de fenêtres, par exemple, pour installer du double vitrage, en dehors de toute analyse préalable sur les faiblesses thermiques à compenser prioritairement pour optimiser l'investissement de rénovation ; l'argent pourrait être utilisé plus efficacement.