L'argumentation est tout de même assez paradoxale : celui qui a la « chance » de payer l'impôt sur le revenu bénéficie d'une réduction d'impôt ; celui qui subit « l'injustice » de ne pas payer d'impôt sur le revenu devrait donc lui aussi avoir droit à une réduction d'impôt par rapport à un impôt fictif, donc à un crédit d'impôt. Il faut faire très attention aux conséquences d'un tel raisonnement.