Au-delà du vieillissement des vins se pose le problème des entreprises qui, ayant un cycle de production long, sont obligées de financer leurs stocks pour partie par l'emprunt. C'est notamment le cas des producteurs de chocolat, qui vendent la plus grande part de leur production en décembre. J'avais proposé, par le passé, un amendement du même type, tendant à ce que le plafonnement ne tienne pas compte de la partie du financement affectée aux stocks, en cas de cycle long ; le rapporteur général s'y était opposé, tout en reconnaissant l'existence d'un problème.