Cet amendement vise à réintroduire dans le texte une disposition d’accompagnement médical et psychologique pour tous nos soldats ayant participé à des Opex. Chacun sait, en effet, que la participation à certaines opérations peut provoquer des séquelles, et pas simplement physiques. Nous n’oublions évidemment pas nos morts, non plus que nos blessés ; mais les soldats de nos armées, comme d’ailleurs ceux d’autres armées dans le monde, peuvent parfois être aussi victimes de traumatismes psychologiques.
Nous souhaitons que cette disposition, qui se réfère d’ailleurs à des pratiques dans lesquelles l’armée française est plutôt en pointe, soit inscrite noir sur blanc dans la loi.