Les questions techniques sont très importantes dans ces dossiers. Or, entre Dexia et le CIF, il ne s'agit pas du tout des mêmes portefeuilles de débiteurs et de créances. Dans le cas de Dexia, tout le problème est de dénouer des montages très complexes et dont les finalités interdisaient de continuer à les garantir – les emprunts qu'on a qualifiés de toxiques ont leur logique financière, mais cette logique ne répond en rien aux nécessités de l'heure. Dans le cas du CIF, à l'exception des 3 % de prêts adossés à des taux variables, nous restons dans le domaine du classique.