Je persiste à penser que la façon dont la commission spéciale a rédigé le texte, avec l’information sur la lutte contre la marchandisation des corps qui fera donc partie intégrante de l’information dispensée dans les établissements scolaires, répondait à votre requête. Je partage absolument votre avis sur la nécessité de faire connaître les réalités de la prostitution, tant d’un point de vue pédagogique que pour prévenir l’entrée dans la prostitution ; mais il me semble que parler de la marchandisation des corps suffit à répondre à cette exigence.