…cela peut être la responsabilité de certains professionnels : c’est pourquoi nous avons décidé d’aider particulièrement ces entreprises et ce secteur en vue de leur mutation.
Grâce à la mobilisation du ministre de l’agriculture et du ministre délégué chargé de l’agroalimentaire, nous arrivons à trouver des solutions. Je prendrai un exemple concret : celui du groupe Doux. Si nous ne nous étions pas mobilisés avec force, depuis un an, ce groupe aurait disparu ; or il est en train de repartir, avec de nouveaux actionnaires, de nouvelles ambitions et beaucoup de qualités.
Ce pacte n’est pas une fin, mais un début. Il y aura le contrat de plan État-région. Vous avez également mentionné, monsieur Benoit, quatre priorités. S’agissant de la simplification, je partage votre préoccupation : c’est un chantier.