Je vous remercie, madame la députée, de me permettre d’éclaircir un sujet sur lequel je n’ai pas eu l’occasion jusqu’ici de m’exprimer devant la représentation nationale et de vous faire comprendre quel est le sens de la démarche que nous adoptons aujourd’hui. D’abord, trois principes.
Premièrement, je tiens à dire mon attachement profond aux classes préparatoires françaises qui sont un lieu d’excellence ; du reste, dans les discussions qui ont lieu, personne n’a jamais songé à les remettre en cause.