Dans le même temps, nous avons souhaité aider le temps péri-éducatif. Jusqu’à présent, et c’est ce que la convention avec la Caisse nationale d’allocations familiales prévoyait, ce temps était payant. Il concernait uniquement 20 % des élèves de France, comme l’a montré l’INSEE.
Avec cette réforme, non seulement nous assurons un meilleur temps scolaire, nous renforçons la coordination entre les élus et les écoles, mais nous faisons aussi en sorte que le nombre d’enfants accueillis dans le périscolaire soit quadruplé.