Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, cette proposition de loi vise à « permettre le libre choix des maires concernant les rythmes scolaires dans l’enseignement du premier degré » : je dois vous avouer que son objet même m’a interpellé !Je me suis demandé si l’UMP n’avait pas fait le choix idéologique d’une école à la carte, d’une école consumériste, ce qui mettrait fin au fait que, depuis la troisième République, nous avons un ministère « de l’éducation nationale ».