Or que se passerait-il si une telle loi était adoptée ? Les écoliers français continueraient à subir des journées de travail trop denses. La coupure du mercredi demeurerait un problème tant du point de vue des chronobiologistes que pour les trop nombreux enfants qui passeraient ce temps devant leur télévision. Et c’est la démocratisation de l’accès au sport et à la culture qui serait remise en question.