Mais le fonds d’amorçage n’était initialement disponible qu’en 2013, et cela s’appelait la liberté sous contrainte : on vous donne la carotte si vous appliquez la réforme immédiatement. Pas de chance, très peu de maires l’ont appliquée ! Dans le département de l’Ain, dont Xavier Breton et moi-même sommes élus, moins de 10 % des communes l’ont adoptée. Autrement dit, cela ne marche pas. D’ailleurs, la prorogation du fonds d’amorçage constitue un aveu d’échec de la réforme.