Monsieur le président, je ferai juste deux observations. D’abord, les propos de M. Lamour auraient pu susciter des réactions plus vives, mais puisqu’il a lui-même reconnu que ses allusions n’étaient pas très subtiles, je n’épiloguerai pas sur ce point. Je pense qu’en effet, il s’est laissé entraîner par son éloquence. Je ne répondrai donc pas à ces propos dont il a lui-même reconnu qu’ils étaient exagérés.