J'approuve les arguments qui viennent d'être développés par Isabelle Attard. On ne peut pas écarter ainsi la question des blogueurs, alors qu'une grande partie de l'information du public est aujourd'hui assurée par des blogs, et s'accrocher à une définition totalement dépassée du journalisme. Je rappelle qu'aujourd'hui il faut tirer au moins 51 % de ses ressources de l'exercice de la profession journalistique pour disposer d'une carte de presse.