Nous ne pouvons que nous féliciter de l'avis du rapporteur. Nous n'avons pas oublié les combats menés pour la présence de l'avocat dès la première heure de la garde à vue : nous sommes conscients qu'il s'agit là d'un combat de longue haleine.
Quant aux établissements psychiatriques, la question du secret médical est effectivement très difficile, et, par bonheur, nous ne vivons pas sous un régime qui, comme la Russie de M. Poutine, enverrait ses opposants politiques dans des hôpitaux psychiatriques.