La question du droit à l'image ne doit pas être négligée, et elle est certainement plus complexe encore pour une personne détenue. Je précise que les conditions de l'exercice de cette possibilité offerte aux journalistes d'accompagner des parlementaires seront fixées par décret. Il faut, je crois, privilégier la négociation : j'ai moi-même visité très récemment une prison en compagnie d'une équipe de France Télévisions, qui filmait. La Chancellerie annonce vouloir faire preuve d'une plus grande ouverture, notamment pour faire connaître la réalité carcérale. Donc avis défavorable.