Cette méthode du fait accompli est vécue par les agriculteurs, les artisans, les commerçants et les salariés comme un pur déni de démocratie. Ma question est donc simple, monsieur le Premier ministre : allez-vous passer en force ou écouter mais, surtout, entendre ces forces vives qui font la richesse des territoires, proposent une vision de l’avenir et ne demandent qu’à jouer collectif ?