Je ne suis pas maire, mais je discute avec l’ensemble des organisations syndicales. Il faut être très francs entre nous. Certes, ne pas perdre d’emplois constitue une préoccupation, surtout en période de crise. Mais la discussion avec nos agents et leurs représentants syndicaux fait émerger une nouvelle préoccupation, à présent dominante, celle d’améliorer les possibilités de carrière. Or la mutualisation des services, dans un sens ou dans l’autre, permet d’améliorer les carrières et d’éviter que certains de nos agents ne disposent d’aucune possibilité d’avancement hormis par grande mobilité géographique. La mutualisation répondra à beaucoup de préoccupations de ce type.