Justement, madame Dalloz, c’est ce que nous avons fait. Vous exprimez depuis 2012 une compassion absolue, soudaine et subite à l’égard des plus précaires que pendant cinq ans vous avez vulnérabilisés, affaiblis et précarisés davantage.
Par ailleurs, si je comprends bien le raisonnement qui est le vôtre, lorsque l’on est en situation défavorisée socialement, que l’on a des problèmes de chômage ou de revenu, il y a un droit auquel on ne doit pas avoir accès, c’est le droit à la connaissance ou à la culture.