Sans compter les accusations portées contre les spécialistes de la réparation automobile !
Je suis surpris, madame Dalloz, par ce soudain engouement pour une économie administrée limitant la liberté de contracter. Si cette liberté était si choquante, pourquoi n'envisagez-vous pas de la retirer aux instituts de prévoyance et aux assurances, qui sont déjà libres de contracter avec leur réseau de soins ?
Le texte, je le rappelle, a pour seul objet d'ouvrir les mêmes droits à tous les acteurs de la complémentaire santé. Pourquoi prévoir un décret en conseil d'État uniquement lorsqu'il s'agit de la branche mutualiste ?