Cette façon de revenir sans cesse sur les mutuelles a de quoi étonner, en effet. Il ne s'agit pourtant que d'aligner leur situation juridique sur celle des sociétés d'assurance, qui ont déjà le loisir de s'organiser en réseau.
Je précise aussi que les frais de gestion des assurances en matière de prévoyance santé sont plus élevés que ceux des mutuelles.
Bref, cet amendement ne traduit rien d'autre qu'une incompréhensible volonté de stigmatisation. Je vous invite, madame Dalloz, à observer la façon dont les autorités d'autres pays européens, y compris lorsqu'elles sont proches de votre famille politique, essaient de rendre leur système de santé plus efficace !