Merci de me redonner la parole, monsieur le président, je serai beaucoup plus rapide sur les sept ou huit autres amendements qui portent sur le même sujet.
Monsieur le ministre, je ne voudrais pas laisser penser qu’il y aurait eu des tergiversations depuis trente ans sur la politique automobile dans ce pays. C’est exactement le contraire : cela a été monobloc avec un seul message. Maintenant, nous allons peut-être réussir à réorienter. On ne peut pas dire qu’on est allé à hue et à dia alors que l’on est allé dans un seul sens et de façon massive.