Dans un souci d'éthique et de transparence partagé par l'ensemble des militants pour la souveraineté alimentaire et le commerce équitable, nous souhaitons, ainsi que nous l'avions obtenu dans la loi de séparation bancaire pour les établissements bancaires, que les coopératives qui détiennent, à travers des filiales ou des holdings, des instruments financiers dont le sous-jacent est constitué d'une matière première agricole susceptible de faire l'objet d'une spéculation en informent leurs adhérents.