L'idée des « certificats phyto » provient du rapport de Mme Marion Guillou. Ce dispositif extrêmement dynamique pourrait permettre d'enclencher un processus vertueux de diminution de la consommation de ces produits. Cependant, techniquement, nous ne sommes pas encore prêts. C'est pourquoi nous choisissons l'expérimentation, qui permettra d'évaluer l'outil. Le principe sera le même que pour le marché du carbone : celui d'un système d'échange de quotas, en fonction d'un objectif de réduction prédéterminé.