La réduction de l'utilisation de produits phytopharmaceutiques passe d'abord par de l'innovation, du conseil, des formations, de la surveillance du territoire et des réponses pragmatiques aux problèmes des usages orphelins et des cultures mineures. Il importe de mobiliser à cet effet les ressources limitées du plan Écophyto, et non de taxer les agriculteurs de dizaines de millions d'euros supplémentaires pour financer des certificats d'économie de produits phytosanitaires en faveur des distributeurs. Je demande par conséquent la suppression de l'alinéa 2.