Nous sommes tous d'accord avec l'objectif de parité, notamment dans les instances. L'amendement a sa place dans le présent texte en ce qu'il est à la fois un appel et la marque de notre volonté. S'il y a un doute sur la capacité des fédérations à le mettre en oeuvre, la future loi « sport » pourra y revenir.
La force du message de cet amendement mérite qu'il recueille un vote unanime de notre commission et qu'il soit porté en séance devant le Gouvernement. Les ministres concernées sauront, n'en doutons pas, lui trouver un cadre législatif.