Dans mon département de Haute-Garonne, nous comptons un taux élevé de communes qui ont adopté la réforme dès la rentrée 2013 puisque près des trois quarts des élèves sont concernés. Il s’agit pourtant d’un territoire en partie rural et montagneux, ce qui démonte la présupposée difficulté des petites communes à engager cette réforme.
D’ailleurs, la commune dont je suis maire, Martres-Tolosane, qui compte 2 300 habitants, en est un exemple.