Monsieur le député, vous évoquez une situation douloureuse, très douloureuse, celle que vous avez connue, celle qu’a connue votre mère, celle que beaucoup d’entre nous ont connue ou connaîtront, et qui est le sentiment d’impuissance face à la douleur, face à la souffrance, au moment où un proche doit affronter la fin de sa vie. Ce débat doit nous amener à nous interroger sur la manière d’entendre la demande et les souhaits des malades.
Le rapport Sicard, il y a un an, posait ce constat terrible : on meurt mal en France.