On a bien compris avec les articles précédents que la transparence, ce n’était pas pour maintenant.
L’article 22 quater acte la disparition du fichier des incidents de remboursement des crédits aux particuliers, le FICP. Je souhaite rappeler à quel point cette décision est hâtive et prématurée dans la mesure où la loi Lagarde n’a pas eu le temps de produire tous ses effets. On enterre un système récent qui, sans être parfait, commençait à bien marcher. De nombreuses améliorations étaient possibles et ont été largement préconisées. Il suffisait tout simplement de les appliquer.