Sur le fond, je suis d'accord avec l'amendement de M. Laurent. D'ailleurs, c'est ainsi que l'on procède dans mon intercommunalité. Quand on doit, par exemple, suite à une enquête publique, discuter d'un SCOT, on convoque les maires. Mais rien n'oblige à mettre dans la loi ce qui correspond à 90 % des pratiques. Si on le fait, cela devient une obligation et, si la procédure n'est pas respectée, on est « retoqué » par le préfet. Je serais d'accord pour que l'on adopte cet amendement, à condition que l'on simplifie un autre point de procédure. Notre commission devrait en effet prendre l'habitude de simplifier la loi, au lieu de l'alourdir systématiquement.