Ce fichage fait régulièrement l’objet de controverses. Madame la ministre, les syndicalistes, les militants associatifs ou les faucheurs d’OGM, pas plus, d’ailleurs, que les militants opposés à la loi ouvrant le mariage aux couples de même sexe, n’ont leur place dans ce fichier.
N’est-il pas temps d’agir et de réformer ce fichier afin d’éviter que l’action politique, associative ou syndicale ne soit mise sur le même plan que les délits et les crimes ?