Sur le fond – et c’est là l’essentiel –, il y a exactement un mois, il y avait en Centrafrique un risque imminent d’embrasement et de désastre humanitaire. Dans ces circonstances, la question posée aux autorités françaises était de savoir si nous allions détourner le regard, laisser passer les massacres en sifflotant, ou intervenir.