Nous entendons nous battre pour en éviter la fermeture, qui nuirait à la filière papetière et serait vécue comme une catastrophe sociale supplémentaire dans un territoire déjà fortement sinistré. Mes questions sont donc simples, monsieur le ministre. Comment le Gouvernement compte-t-il témoigner sa solidarité aux salariés ? Comment l’État compte-t-il accompagner les repreneurs potentiels et assurer la pérennité de l’usine ?