Monsieur le ministre de l’éducation, depuis la rentrée scolaire, je porte peine, comme on dit chez nous, pour mes collègues situés à droite de l’hémicycle : je les sens perturbés, angoissés au point de vous poser, semaine après semaine, toujours les mêmes questions : comment appliquer les nouveaux rythmes scolaires ? Le coût sera-t-il supportable pour les communes ? Nos petits ne seront-ils pas trop fatigués ?