Face à cette injustice, les nouveaux rythmes scolaires sont là pour rétablir l’égalité des chances, à la campagne comme en ville. Et ce n’est pas si compliqué à mettre en place : quelques séances de travail réunissant élus, enseignants, parents, et surtout le monde associatif, dont chacune de nos communes rurales est si riche, suffisent à préparer un projet où culture, sciences et savoir se mêlent à la création.
Et ce n’est pas un coût, c’est un investissement !