En vous posant cette question, monsieur le ministre de l’éducation nationale, je me fais la porte-parole d’une grande majorité de familles, de chefs d’établissement, d’enseignants et d’une immense majorité de maires de France, dont certains sont issus de votre majorité.
Vous demeurez sourd aux difficultés réelles et multiples rencontrées sur le terrain dans la mise en oeuvre des nouveaux rythmes scolaires. C’est un peu facile de publier un décret au lieu de passer par la loi afin d’éviter le contrôle du Conseil constitutionnel,