C’est très bien, mais tous les postes ne sont pas pourvus, monsieur le ministre. Il y a encore des obstacles intérieurs, il faut s’emparer du problème.
Des questions demeurent, qui auraient dû requérir votre attention et susciter des propositions, par exemple pour favoriser l’installation des femmes, encourager leurs projets, améliorer leur réussite dans les établissements d’enseignement agricole où elles sont les premières concernées par l’échec, améliorer enfin la reconnaissance des droits économiques et sociaux, notamment l’accès aux aides européennes. La question de la transparence reste entière, particulièrement dans les GAEC entre époux.
Comment une loi peut-elle se prétendre d’avenir, monsieur le ministre, en faisant le silence complet sur la situation des agricultrices ?