De plus, l’ambition pour la recherche est réaffirmée avec, entre autres, la création de l’Institut agronomique et vétérinaire de France. Permettez-moi d’insister sur ce point. À l’heure actuelle, si les aléas climatiques, sanitaires, phytosanitaires et environnementaux sont relativement bien assurés dans le secteur agricole, il en va tout autrement des risques liés aux méthodes innovantes en agriculture. Je pense au réseau Sentinelles de la terre et au biocontrôle assuré dans ma circonscription par la coopérative Terrena. Ce réseau rassemble des agriculteurs volontaires pour expérimenter, dans leurs exploitations, des technologies et méthodes qui optimisent les rendements en utilisant moins de chimie, moins d’eau ou moins d’énergie fossile.