Le texte que vous nous proposez, monsieur le ministre, est le cinquième du genre consacré à l’agriculture depuis 1999. Croyez-vous qu’une telle prolifération, source à l’évidence d’insécurité législative et de logorrhée réglementaire, soit la réponse qu’attendent les agriculteurs, ces centaines de paysans français confrontés à une compétition européenne et internationale de plus en plus rude ?