Nous demandons la mise en place d’une véritable contractualisation dans le secteur laitier, seule réponse à la fin des quotas et à la concurrence européenne.
Par ailleurs, je regrette profondément, monsieur le ministre, que ce texte ait dû être examiné dans la précipitation, compte tenu des délais et de la date limite de dépôt des amendements fixé au 3 janvier, en pleine période de vacances, avec un débat en séance publique le 7 janvier. Encore un sujet crucial traité à la va-vite !