Ces sujets, du reste, ont déjà fait l’objet d’un débat parlementaire. Ce texte n’est qu’un recueil de bonnes intentions, qui ne définit aucune ambition pour l’agriculture française et n’est pas à la hauteur des attentes. Pire, aucune mesure ne permet de mettre fin à la concurrence déloyale en Europe, principale préoccupation des agriculteurs aujourd’hui, ni à lutter contre le dumping social ou fiscal.