…t que vous mettriez dans les plus vives difficultés les belles structures de polyculture-élevage ? En effet, en Lorraine, des GAEC de 250 hectares, faisant vivre trois familles de l’élevage mais qui n’auront droit qu’à une seule surprime, ne sont pas rares. En diminuant leur revenu alors qu’elles attendaient un soutien, vous les condamnez et, avec elles, toute la filière aval de l’agroalimentaire, car un paysan qui arrête l’élevage l’arrête pour toujours et une prairie labourée l’est pour toujours.