Vous avez eu l’occasion de vous en occuper, je ne le nie pas, monsieur le ministre, mais on n’en parle pas, ou plus, alors que cela permettrait précisément d’éviter que des problèmes de ce genre se posent demain.
La vraie question est : que veulent les agriculteurs, qu’ils soient de Scrignac, de Saint-Trimoël ou d’autres lieux ?