Je répète que les professionnels représentent les trois-quarts des membres de ce Conseil supérieur d’orientation et de coordination de l’économie agricole et alimentaire.
Arrêtons de nous laisser entraîner vers un débat qui n’a pas lieu d’être : l’équilibre existe d’autant plus que le pluralisme syndical est respecté en ce qui concerne ces professionnels composant les trois-quarts du CSO. Nous sommes encore capables actuellement, lorsque l’on discute d’agriculture, de faire en sorte que toutes les sensibilités s’expriment : le syndicat majoritaire mais aussi la Confédération paysanne et la Coordination rurale.
Je répète que le CSO est composé aux trois-quarts par des organisations professionnelles agricoles.