En même temps, c’est la France, oui, et c’est pour cela que l’on fixe des objectifs dans le texte de la loi, en particulier en termes de diversification et d’organisation. Mais à partir du moment où un organisme est chargé de distribuer les aides, l’articulation est meilleure, au niveau de la gouvernance locale, entre les collectivités et la mobilisation des moyens nationaux et européens.
C’est ça, la politique des outre-mer, et je ne changerai pas d’avis : des objectifs, des moyens décentralisés et déconcentrés pour les appliquer, une procédure démocratique et, dans le cadre du conseil d’orientation, un débat entre FranceAgriMer et l’ODEADOM, et c’est tout.
Ces précisions faites, je rappelle que je partage l’avis du rapporteur.