est vrai qu’il est question, dans l’article 3, d’une vision collective de l’agriculture. Mais avoir une vision collective de l’agriculture ne devrait pas susciter mécaniquement la diabolisation à laquelle vous vous livrez, monsieur Dhuicq, comme si vous étiez complètement coincés mentalement ! Dès que l’on parle de collectif, de réflexion partagée, de co-élaboration et d’associer le plus grand nombre à un projet, cela vous fait peur. C’est étonnant, et d’ailleurs vous vous répétez tellement sur ce thème que cela ne m’étonne même plus !