Il est difficile, sur cette question des wwoofers, d’utiliser un terme français. Le rapporteur l’a très bien dit : nous sommes à la limite entre ce qui relève du bénévolat et ce qui pourrait rapidement se transformer en travail au noir ou en d’autres situations difficilement acceptables.
Sur l’aide, le bénévolat et la formation, nous avons engagé un travail qui doit être poursuivi. D’ici la deuxième lecture, nous essaierons de définir des règles : nous pourrons alors en rediscuter.
Pour l’heure, nous sommes confrontés à une difficulté. L’aide bénévole existe, mais inscrire cette pratique dans la loi reviendrait à ouvrir une perspective que nous ne maîtriserions plus.