Sur ce sujet, des choses sont déjà prévues. Vous me demandez si, pour connaître les quantités d’azote épandues, nous imposerons aux agriculteurs des déclarations supplémentaires relatives à l’azote minéral. J’ai répondu non.
Croyez-vous que les préfets de région, qui négocient aujourd’hui avec les organisations professionnelles, n’aient pas intégré tous ces éléments ? Les négociations des plans régionaux sont en cours. Chaque région choisira – je l’ai rappelé.
Quant à la substitution de l’azote organique à l’azote minéral, il suffirait, à en croire M. Le Ray, de faire circuler l’azote organique. Mais, si l’azote minéral ne diminue pas, la question posée par la pollution par l’azote ne sera pas résolue.