Bien entendu, je retire mon amendement. Je me permets tout de même de faire remarquer que, à l’instar peut-être d’autres collègues ultramarins, je dois prendre un avion dans deux heures et je ne peux donc que regretter que l’examen de l’article 34 n’ait pas été avancé.
Qu’il me soit en outre permis de déplorer l’intervention inopportune d’une députée de la Guyane, manifestement offusquée d’un traitement qui serait dérogatoire pour l’outre-mer. Celui-ci fait l’objet des derniers articles de la loi : nous sommes donc de fait traités à part ! Que nous le soyons à la fin du texte, au milieu ou en appendice, je ne vois pas la différence, sinon la possibilité ou non pour nous de participer au débat.