Essayons, si nous en sommes tous d’accord, d’enclencher un processus visant, en fait, à faire appliquer la loi, laquelle n’a pas besoin d’être modifiée.
Face à de grandes caves ou à certains grands groupes financiers, les viticulteurs se retrouvent seuls et n’osent pas – on parle de « grands groupes financiers », mais on voit à peu près de qui il s’agit. Mais la loi existe ! Je suis prêt à faire ce courrier – nous pouvons en rediscuter – pour faire en sorte que la loi soit rappelée à ceux qui exercent des pressions qui ne sont pas légales et pour donner des arguments aux viticulteurs.